LE JOURNAL DU DIMANCHE : Le Barbier de Séville



* * Le barbier de Séville : Avec Figaro, le dramaturge Beaumarchais a créé le premier valet plus intelligent et plus spirituel que son maître. Pour Sébastien Azzopardi qui met en scène la pièce, son auteur a fait plus : rompant avec la comédie classique, il annonce le vaudeville du siècle suivant. Il insuffle en conséquence un vent de folie dans l'interprétation de la pièce et en fait un spectacle très enlevé, à la gaité contagieuse. Une mention spéciale à Frédéric Imberty pour sa composition de barbon, roi des précautions inutiles pour préserver sa Rosine de l'entreprenant comte Almaviva. Jean-Luc BERTET 03/04/05


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